
The painting titled "But It's Just a Relaxer" is a captivating representation of a woman, whose yellow skin symbolizes not only Black women but also all women who have had to fight for beautiful hair. As a Black woman, the artist has personally experienced the harmful effects of relaxers, metaphorically represented by the snake covering the woman's eyes. This snake embodies the vice of relaxers, which alter the natural texture of our hair.
From a young age, Black women are often pressured to change the natural texture of their hair, frequently encouraged to conform to beauty standards that do not align with their natural identity.
Yet today, these same women are criticized for using methods to alter their hair texture and for not fully embracing their natural state. This misunderstanding stems from an upbringing that did not allow them to grow up appreciating the beauty of their hair as it is.
It is therefore important to recognize that Black women have been conditioned not to fully accept themselves due to discriminatory beauty standards, and that it is crucial to promote true self-acceptance, regardless of hair texture. It is time to celebrate hair diversity and to value the natural beauty of each individual, beyond the standards imposed by society, starting from childhood.
Le tableau intitulé "Mais c'est juste un défrisage" est une représentation captivante d'une femme, dont la couleur de peau jaune symbolise non seulement les femmes noires, mais aussi toutes les femmes qui ont dû se battre pour avoir de beaux cheveux.
En tant que femme noire, l'artiste a personnellement vécu les conséquences néfastes des défrisages, qui sont métaphoriquement représentées par le serpent cachant les yeux de la femme. Ce serpent incarne le vice des défrisages, qui modifient nos cheveux.
Depuis leur plus tendre enfance, les femmes noires sont souvent confrontées à devoir modifier la texture naturelle de leurs cheveux. Souvent encouragées à se conformer à des normes de beauté qui ne correspondent pas à leur identité naturelle.
Pourtant, aujourd'hui, ces mêmes femmes se voient reprocher d'avoir recours à des artifices pour modifier leur texture capillaire et ne pas assumer pleinement leur naturel. Cette incompréhension est le fruit d'une éducation qui ne leur a pas permis de grandir en appréciant la beauté de leurs propres cheveux tels qu'ils sont.
Il est donc important de reconnaître que les femmes noires ont été conditionnées à ne pas s'accepter pleinement en raison de normes esthétiques discriminatoires et qu'il est primordial de promouvoir une véritable acceptation de soi, quelle que soit la texture de leurs cheveux. Il est temps de célébrer la diversité capillaire et de valoriser la beauté naturelle de chaque individu, au-delà des standards imposés par la société et ça dès l’enfance